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1.
Arch Pediatr ; 29(8): 620-623, 2022 Nov.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-2130080

ABSTRACT

Multisystem inflammatory syndrome in children (MIS-C) is a novel post-infectious disease occurring in the context of SARS-CoV2 infection. COVID-19 vaccines have been authorized since December 2020, and adverse events including myocarditis have been reported following vaccination. We describe the cases of two pediatric patients presenting with clinical and laboratory features suggestive of MIS-C a few days after receiving their first dose of the Pfizer BNT162b2 vaccine. The outcome was favorable for both patients (after corticosteroid and immunoglobulin administration for one patient). These cases suggest an association between the COVID-19 vaccine and the occurrence of MIS-C.


Subject(s)
COVID-19 Vaccines , COVID-19 , Child , Humans , BNT162 Vaccine , COVID-19/prevention & control , COVID-19 Vaccines/adverse effects , RNA, Viral , SARS-CoV-2 , Syndrome , Vaccination
2.
Journal of Forecasting ; : 20, 2022.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1767340

ABSTRACT

Although the Covid-19 crisis has shown how high-frequency data can help track the economy in real time, we investigate whether it can improve the nowcasting accuracy of world GDP growth. To this end, we build a large dataset of 718 monthly and 255 weekly series. Our approach builds on a Factor-Augmented MIxed DAta Sampling (FA-MIDAS), which we extend with a preselection of variables. We find that this preselection markedly enhances performances. This approach also outperforms a LASSO-MIDAS-another technique for dimension reduction in a mixed-frequency setting. Though we find that a FA-MIDAS with weekly data outperform other models relying on monthly or quarterly data, we also point to asymmetries. Models with weekly data have indeed performances similar to other models during "normal" times but can strongly outperform them during "crisis" episodes, above all the Covid-19 period. Finally, we build a nowcasting model for world GDP annual growth incorporating weekly data that give timely (one per week) and accurate forecasts (close to IMF and OECD projections but with 1- to 3-month lead). Policy-wise, this can provide an alternative benchmark for world GDP growth during crisis episodes when sudden swings in the economy make usual benchmark projections (IMF's or OECD's) quickly outdated.

3.
Pediatric Rheumatology ; 19(SUPPL 1), 2021.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1571818

ABSTRACT

Introduction: A working hypothesis is that juvenile dermatomyositis (JDM) is a type 1 interferon driven inflammatory response, triggered by one or more environmental stimuli, such as infection. Objectives: We aimed to test the hypothesis that SARS-CoV-2 infection could promote JDM onset or relapse. Methods: We studied SARS-CoV-2 infection history in all JDM patients seen in our center for disease onset (n=6) or relapse (n=4) since the start of the pandemic. IgG and IgM directed against whole spike protein, spike Receptor Binding Domain (RBD), spike S2 subunit, nucleocapsid protein (NP) and Membrane glycoprotein (ME) were measure in the plasma by multiplex bead-based assay at diagnosis. IFNα2 level in the plasma was measure by digital ELISA. Results: Out of the 10 patients we identified concomitant infection by SARS-CoV-2 with disease onset in one patient, and concomitant infection by SARS-CoV-2 with disease relapse after 8 years out of treatment in one other. IFNa2 dosages in the plasma of these two patients revealed abnormally elevated concentrations (73476 fg/ml and 4612fg/ml respectively, median active JDM: 491fg/ml). Conclusion: Our results strongly suggest that SARS-CoV-2 infection could trigger the development of JDM, possibly through induction of IFNα.

4.
Revue du Rhumatisme ; 88:A71, 2021.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1537036

ABSTRACT

Introduction La population pédiatrique est sous-représentée dans la pandémie actuelle, en termes de nombre de cas et de sévérité. De surcroît le risque évolutif de l’infection au SARS-CoV-2 dans cette population, en cas de maladies inflammatoires sous traitements immuno-modulateurs, est peu connu. Cette population de jeunes patients immuno-déprimés est considérée comme une population à risque de formes sévères de COVID-19. L’objectif de notre étude est d’évaluer le degré de sévérité et l’issue de l’infection à SARS-CoV-2 chez les patients atteints de RMD (avec une arthrite juvénile idiopathique, une maladie auto-inflammatoire, une vascularite ou une maladie auto-immune systémique) exposés à des traitements immuno-modulateurs, au travers d’une cohorte prospective française. Patients et méthodes Cette étude ancillaire, multicentrique, observationnelle, descriptive et prospective, de cohorte nationale française a inclus de jeunes patients, suivis dans les centres de pédiatrie et de rhumatologie pédiatrique français, présentant une maladie inflammatoire associée à une infection COVID diagnostiquée par PCR (réaction en chaîne par polymérase), sérologie, scanner ou par une clinique fortement évocatrice. Les données démographiques, cliniques et thérapeutiques, les comorbidités, de ces jeunes patients ainsi que des données sur l’infection par le SARS-CoV-2, l’issue et l’impact sur l’activité de la maladie inflammatoire (RMD) ont été documentés par un questionnaire SARS-CoV-2 spécifique mis en œuvre par la FAI2R. Résultats D’avril 2020 à juin 2021, des données ont été recueillies auprès de 95 patients âgés de 13,1±4,4 ans, de prédominance féminine (62,1 %), atteints de RMD : une arthrite juvénile idiopathique 44 (46,3 %), maladie auto-inflammatoire 6 (6,3 %), vascularite 1(1,1 %) et maladie systémique auto-immune 37 (39 %), avec un diagnostic hautement suspecté/confirmé de COVID-19. 33 patients (34,7 %) ont reçu des DMARDS, 35 (36,84 %) des bioDMARD,10 (10,6 %) des glucocorticoïdes systémiques et 11(11,7 %) des AINS. Quatre vingt onze patients (95,8 %) avaient une forme bénigne et 4 patients (4,2 %) une forme modérée. Vingt quatre patients (25,3 %) ayant au moins une comorbidité (dont 22 (24,2 %) avaient une forme bénigne). Aucun cas d’hospitalisation en soins intensifs ni de détresse respiratoire n’a été relevé. L’évolution était bénigne sans séquelles à 21jours et sans retentissement sur l’activité de la maladie. Conclusion Dans notre cohorte French RMD Covid pédiatrique, il n’y a pas d’augmentation de la sévérité de l’infection COVID chez les patients ayant une maladie inflammatoire liés à leur maladie ou à leur traitement immunosuppresseur. L’évolution est bénigne sans signes de sévérité ni séquelles et sans retentissement sur l’activité de la maladie.

5.
La Revue de Médecine Interne ; 42:A321-A322, 2021.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1531768

ABSTRACT

Introduction Les patients drépanocytaires adultes sont considérés depuis le début de l’épidémie comme plus fragiles face à la COVID-19. L’analyse de la littérature et des travaux Français montrent que les patients de génotype SC et les plus de 40 ans sont les plus à risque de développer des formes sévères. De plus, des crises vaso-occlusives (CVO) peuvent être provoquées par l’infection, ce qui conduit à des hospitalisations plus fréquentes dans cette population. La vaccination prioritaire a donc été recommandée. Cependant, la tolérance du vaccin n’a pas été étudiée dans cette population, notamment le risque de crise induite par l’inflammation ou la fièvre post-vaccinale. Nous avons souhaité étudier les complications liées au vaccins anti-COVID19 dans une cohorte consécutive de patients drépanocytaires adultes. Patients et méthodes Étude observationnelle rétrospective réalisée sur une cohorte de patients d’un centre de référence Français. Tous les patients de notre cohorte, vaccinés jusqu’au 31 juillet 2021, ont été rappelés systématiquement dans les 2 mois suivant leur injection pour connaître les effets secondaires des vaccins. En plus des effets secondaires attendus, était notifié s’ils avaient eu des CVO à domicile ou des hospitalisations dans les 21jours suivant le vaccin. La prévalence de CVO hospitalisées a été comparée à celle survenue dans les 3 semaines chez tous les patients drépanocytaires non vaccinés, venus dans la même période en consultation ou hospitalisation de jour (HDJ) dans notre centre. Résultats Sur une cohorte active d’environ 300 patients, seuls 100 patients drépanocytaires (68 % homozygotes, 22 % de génotype SC ;55 % de femmes) étaient vaccinés au 31/07/2021. 95 % ont reçu un schéma vaccinal complet. 93 patients ont reçu le vaccin Pfizer, 3 le Moderna, 4 l’Astra Zeneca. L’âge médian des sujets vaccinés était de 30 ans (extrêmes 18-67). L’incidence des hospitalisations dans les 3 semaines était de 12 % après la première dose : 9 CVO simples, une CVO avec syndrome thoracique aigu, une thrombose veineuse profonde dans le bras injecté, une CVO avec séquestration splénique et rupture de rate entraînant un décès. Parmi ces 12 patients, quatre avaient été vaccinés dans les 30jours suivant une CVO hospitalisée (incluant le patient décédé, vacciné à la fin d’une hospitalisation pour CVO). Dans la même période, l’incidence des hospitalisations sur notre cohorte de patients vus en consultation ou HDJ était de 9 % à 3 semaines (27/285) (P=0,58, comparaison non significative par rapport aux vaccinés). Des CVO gérées à domicile ont été rapportées par 4 patients ayant reçu leur première dose. Les autres complications les plus fréquentes survenant dans les 48heures suivant la première injection vaccinale étaient les suivantes : douleur musculaire au point d’injection (31 %), asthénie (23 %), courbatures (13 %), céphalées (13 %), fièvre (12 %), [MOU1] [A2] frissons (3 %), nausées (2 %), douleurs oculaires (1 %), orgelet (1 %), règles très douloureuses (1 %), diarrhées (1 %), malaise (1 %), vertiges rotatoires (1 %). Parmi les patients avec fièvre, seuls 2/12 ont été hospitalisés pour CVO. Enfin, seuls deux des 78 patients ayant eu la deuxième injection (2,5 %) ont été hospitalisés dans les 3 semaines (2 CVO). [MOU1]Peut être pas pour l’abstract mais il faudrait regarder si la majortité de ces 12 patients avec fièvre ne sont pas ceux qui ont été hospitalisés. si c’est la cas on pourra rajouter une phrase en ce sens [A2]3 de ces patients ont fait une CVO et seulement 2 ont été hospitalisés. Conclusion La tolérance du vaccin anti-COVID19 est très acceptable chez le patient drépanocytaire adulte, avec des effets secondaires minimes, proches de ceux de la population générale. Nos résultats rassurent sur le risque potentiel de CVO nécessitant une hospitalisation induite par l’injection vaccinale, même si la prudence imposerait de se placer à distance d’une crise pour la réalisation du vaccin. Ces résultats devraient diminuer l’appréhension d’une population à risque de la COVID-19 mais réticente à la vaccination, comme le montre le taux insuffisant de patients vaccinés dans notre cohorte, pourtant régulièrement incités à se faire vacciner depuis mars 2021.

6.
Actualite Chimique ; - (451):12-16, 2020.
Article in French | Scopus | ID: covidwho-828683
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